Le non au référendum sur la Constitution a agi auprès des parlementaires français comme un révélateur de la distance qui s'était établie avec les instances européennes. La première conséquence a été le renforcement de la présence de fonctionnaires du Parlement français à Bruxelles afin d'améliorer le suivi des négociations européennes et d'anticiper sur l'impact des propositions de la Commission au niveau national. Le traité d'Amsterdam prévoit, en effet, un délai de six semaines entre la transmission au Conseil et au Parlement européens d'une proposition d'acte législatif et son inscription à l'ordre du jour. [Link]
terça-feira, janeiro 24, 2006
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