Vou é necessitar do dia todo, para esclarecer se o auto-designado " surrealismo belga" me atingiu com esta notícia:
Cinq ans après avoir interdit l'écourtage des oreilles des chiens, la Belgique a interdit cette année l'amputation des queues de chien, sous peine d'amende pouvant atteindre 5 500 euros.Ou, se, pelo contrário, o que me deve deixar verdadeiramente siderado, são os preconceitos mútuos, entre flamengos e francófonos:
Cloisonnement identitaire entre Flamands et Wallons
Les francophones jugent globalement les Flamands égoïstes, orgueilleux, austères, mais aussi courageux, gestionnaires et créatifs. » Paradoxalement, dans la même enquête, les Flamands s’estiment moins rigoureux et créatifs mais plus négligents que les Francophones... « On aura tout vu ! Avec ces résultats, qui apparaissent tellement à contre-courant des idées reçues, ce sondage confirme une des grandes caractéristiques de la Belgique : le surréalisme. »
La presse aussi est exclusivement unilingue. « Il n’y a jamais eu de journal bilingue en Belgique, alors que ça a été le cas en Suisse ou au Luxembourg. Le bilinguisme n’a jamais existé en Belgique », observe Guido Fonteyn. Pas de médias bilingues et très peu de lecteurs bilingues. « Il n’y a que 3 % de personnes qui lisent la presse de l’autre communauté », ajoute M. De Winter.
Pior ainda será, provavelmente, se alguém tiver a curiosidade de procurar saber o que pensam os cães com donos flamengos, dos cães com donos francófonos.
Ladram-se, uns aos outros, em inglês, na Grand-Place?
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